L’architecte méditerranéen Rudy Ricciotti publie un nouveau livre dans la lignée de « L’architecture est un sport de combat » publié dans la même collection de l’éditeur Textuel.
Côté chantier, l’architecte Rudy Ricciotti va prochainement livrer le Lillenium, un centre commercial recouvert d’ETFE à Lille, les ateliers de création de la maison de haute-couture Chanel à Aubervilliers ou encore le Conservatoire de Musique Henri Tomasi à Ajaccio.
Dans son nouveau livre, titré « L’exil de la Beauté », l’auteur du MUCEM à Marseille, se focalise sur la beauté politiquement correcte.
Extraits :
« La beauté ne s’exile pas volontairement. Son départ est conditionné par une fatigue généralisée des curiosités. Invisible à force d’être ignorée, nos comportements la chassent. Et nous seuls portons la responsabilité de sa disparition.
J’ai pris goût à rechercher avec persévérance la beauté qui émancipe, à prendre le risque de me fourvoyer. C’est une démarche individuelle. Elle récuse la désillusion esthétique totale en cours dans les milieux culturels ».
« Mais la quête de la beauté ne délivre pas un certificat d’impunité. Il y a des coups à prendre… »
« J’ai pris goût à rechercher avec persévérance la beauté qui émancipe, à prendre le risque de me fourvoyer. C’est une démarche individuelle. Elle récuse la désillusion esthétique totale en cours dans les milieux culturels. »